Voyages équitables Si loin/Si proche

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Si loin au Caucase

Qui es tu Géorgie?

Caucase

Vivez le Caucase toute l'année

Itinérance

10 j. à partir de 0 €
à partir de 2 personnes

Caucase : Qui es tu Géorgie?

La Géorgie est ce petit pays du Caucase au carrefour des civilisations. Beaucoup de montagnes (sommet du Kazbek 5047 m). Des plaines fertiles ou steppiques. Des ports et des plages de galets qui bordent la Mer Noire. Une langue et une écriture qui lui sont propres. Une capitale captivante au nom bizarre et un peuple dont je ne saurais dire la particularité, du moins pas mieux que ne l’a fait autrefois Alexandre Dumas, mais où il me semble qu’un Français peut aisément y retrouver son propre reflet sous une forme à la fois étrangement proche et exotique. A ce point où le miroir peut se retourner et vous désigner tel un autre, comme ces quelques fois où j’ai entendu dire «Prangi?! Français?!» J’avais pourtant tout l’air d’un géorgien, sans qu’on me précise si cela tenait à la taille de mon nez, bref!…ou d’une quelconque prodigalité, d’une incapacité éprouvante à fuser un verre de plus ou d’une attitude évoquant peut-être l’introspection, peut-être à cet instant précis, le souci de l’autre…
Pour sa première année en Géorgie, Baština s’attable à la Supra fraternelle lors d’une itinérance douce à Tbilissi et ses environs (village de Nitchbissi, troglodytes de David Gareja, capitale historique de Mtskheta) et avec une boucle couvrant Petit Caucase et Vallée de Borjomi au Sud-Ouest du pays.

 

 

Un petit pays qui, sur un atlas physique de l’Europe, tient largement dans la main...

Mais dont les richesses tant naturelles qu’humaines et historiques déprécient sérieusement l’empan de cette dernière. Une mosaïque de peuples et d’influences à l’identité multiple…Un petit pays enfin, où le tourisme balbutiant marche encore comme un nourrisson mêlant l’hésitation à la jubilation, que ce soit au Nord depuis les villages dominés par les glaciers et les sommets enneigés du Grand Caucase ou au Sud-Ouest dans la vallée thermale de Borjomi, aux abords de ses vastes lacs d’altitude près des montagnes nues du Petit Caucase ou dans les vignobles aux cépages endémiques de l’orientale Kakhétie, à nouveau cultivés et vinifiés avec méthode ou encore dans les troglodytes labyrinthiques de David Gareja ou Ouplistsikhé.

Pourquoi de telles questions, sinon à savoir au moins cela, que Tbilissi est à l’Est?! Une ville russe peut-être, ou bien une ville des Balkans ou de l’ex-URSS dont on n’a jamais trop su les frontières, d’ailleurs.

Littéralement, Tbilissi est la ville chaude, autrefois nommée Tiflis, née sous les signes de la chance et de la chaleur et où les bains d’eau chaude et sulfureuse du quartier Orbéliani vous accueillent jour et nuit comme si vous étiez le faisan de la légende du roi ibère Vakhtang Gorgassali. Comme la girafe de Pirosmani, Tbilissi est grise par touches uniquement et cela comme toutes ces villes que nous habitons et connaissons. En revanche, elle n’a rien d’une ville monochrome. 
La nuit, Tbilissi est jaune, d’un jaune comme celui qui éclaire une ancienne chaumière où se côtoient l’ombre, l’éclat contenu du feu de cheminée et le rayonnement d’une lampe à incandescence, un rayonnement qui caresse les mûrs plus qu’il ne les traverse. Il suffit de passer sur la Mtkvari en empruntant le Pont de la Paix, passerelle pédestre contemporaine où dominent le verre, la vague lumineuse et en mouvement du français Philippe Martinaud et une foule de sourires, pour voir surgir la lumière blanche à la sortie du tunnel. 

Une ville où chaque rue est un son ; le son cacophonique d’un klaxon de Lada Jigouli ou de Volga ou d’une automobile récente, allemande ou japonaise ; le son des pavés et plus haut, celui reposant des branches des acacias, comme des bras penchés aux balcons en fer forgé ; le son de deux copains qui, se tenant épaule contre épaule, chantent comme dans les scènes les plus joyeuses d’un film d’Otar Iosseliani ; le son des joueurs de cartes et des joueurs de dominos sur un banc ou sur le coffre d’un taxi. 

L’architecture d’une ville n’est pas sans motif. 
Est-ce que l’architecture de Tbilissi, qui privilégie les balcons ouvragés, les longues terrasses, les façades vitrées comme autant d’ateliers d’artistes, les patios et les cours intérieures, chacun exposant les stigmates des décennies sans rénovation et les anciens tremblements de terre, fissures, boiseries vermoulues, vitres laissant passer l’air, zingueries et ferronneries oxydées…
Est-ce que son architecture a pour motif son climat favorable, entre hivers doux et étés raisonnablement chauds? 













A-t-elle pour cause son goût pour la rencontre et la communauté jusqu’aux Supras : ces tablées fraternelles et festives où les vins, Mtvane et Sapéravi en tête, où les toasts incessants de la Tamada et les chants polyphoniques entre amis, où les enfants, les parents et les grands-parents s’enivrent d’un plaisir commun et répété? Trouve-t-elle son inspiration dans les visages de ses habitants, ces physionomies géorgiennes qui réussissent à marier les volumes généreux ou imposants, les surfaces étroites et les angles saillants et qui nous rappellent, qu’au même titre qu’une façade de la vieille ville, combien aucun visage charmant n’est pourtant rectiligne? Ce qui fait dire au voyageur que Tbilissi a une «gueule».

 

Sur la route de Khertvisi au Petit Caucase                                          

 

 

 

Modalités de votre séjour

Dates de départ :
Départ toute l'année à la date de votre choix (à partir de 2 personnes)
Retour : 10 jours après

Vous pouvez aussi choisir d'autres dates de départ à partir de 2 personnes

Prix : A partir de 0 € par personne

Au départ de Paris, Marseille, Lyon, Nantes, Bordeaux, Montpellier, Toulouse, Strasbourg, Nice, Genève, Zurich, Bâle-Mulhouse et Bruxelles

  • Ce voyage comprend :
  • • Les vols aller/retour Europe – Tbilissi
  • • Le transport en minibus ou voiture particulière
  • • L’accompagnateur géorgien francophone en dehors de Tbilissi
  • • Les hébergements en chambre d'hôtes chez l’habitant et en auberge rurale
  • • La pension complète sauf à Tbillisi en demi-pension (sauf boissons)
  • • Le fonds de développement pour des actions d’intérêts collectifs
  • • Les assurances assistance/rcp Maïf
  • Ce voyage ne comprend pas :
  • • Les boissons
  • • Les déjeuners à Tbilissi
  • • Les achats personnels
  • • Les activités non prévues
  • • L’adhésion à Baština de 25 €
  • • Les assurances annulation et complémentaire Axa en option (4% du prix du voyage)
 
Tempo, votre voyage jour après jour

 

Jour 1 : Nitchbissi

Embarquement à l’aéroport pour Tbilissi où vous arrivez dans l’après-midi. Vous êtes accueillis par les Géorgiens avec lesquels vous continuez en direction du village de Nitchbissi distant de 30 kilomètres. Rencontre avec Nunuka, dîner et chez l’habitant.

Jour 2 : Tbilissi

Balade urbaine dans la capitale : les anciens quartiers, les marchés, les Bains, Musée des Beaux-Arts…possibilités d’assister à des concerts de chants polyphoniques ou des danses géorgiennes traditionnelles…Dîner et nuit chez l’habitant.

Jour 3 : David Gareja

Départ en bus ou voiture particulière pour l’Est avec David Gareja. Découverte du paysage culturel troglodytiques du VIIème siècle. Retour le soir à Tbilissi.

Jour 4 : Mtskheta

Poursuite sur l’ancienne capitale historique de Mtskheta où la religion chrétienne arrive au IVème siècle avec saint Nino avant d’être officielle en 334. La première église en bois fut construite dans le jardin du palais à l’emplacement de l’église actuelle de Svetitskhoveli. Le groupe d’églises de Mtskheta, remarquable exemple d’architecture religieuse médiévale de la région du Caucase, témoigne de l’excellence de l’art et de la culture du royaume disparu de Géorgie, qui joua un rôle très important dans l’histoire médiévale de cette région. 

Au retour, rite nutritif du Khinkalis à Tbilissi.

Jours 5 à 8 : Borjomi et Petit Caucase

Départ en minibus pour l’occidentale Vallée de Borjomi, forestière et thermale. Halte à Gori, site du Vème siècle avant notre ère : Ouplistsikhé. Logement chez l’habitant dans le village de Tsagveri. Aujourd’hui, la boucle tourne après Akhaltsikhé. Rando dans l’imposant site troglodyte du XIIème siècle de Vardzia. Dîner et nuit dans les cottages en bois. Non loin des frontières de Turquie et d’Arménie, vous remontez par le Petit Caucase en Djavakhétie.

De belles montagnes nues et fières à l’herbe grasse couvertes de troupeaux de brebis éparses gardés par des des cavaliers solitaires, des lacs d’altitude posés à 2100 m sur le plateau où soufflent continuellement les vent du Sud. Retour à Tbilissi.

Jour 9 : Tbilisuri

Journée libre dans les rues populaires tbilisuri, dans la forteresse de Narikala, chez un caviste de Kakhétie ou au contemporain Café-Gallery…Supra chez Nunuka et ultime nuit au village. 

Jour 10 :  Retour

Le matin, embarquement à l’aéroport pour la France.

 

Information / réservation

 
Voyages équitables Si loin/Si proche

Tel. 01 83 62 89 27

bastina@bastina.fr

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